Left 4 Dead 2 – Bad buzz de fans

Le bad buzz est un détournement ou une critique d’une campagne de communication d’une marque ; son origine est généralement dûe à un message mal interprété ou à un groupe de personnes s’opposant à la marque. Le cas de Left 4 Dead 2 (L4D2) est intéressant car c’est la communauté de fans du N°1 qui prend violemment position contre la sortie de la suite de leur jeu préféré annoncée la semaine dernière à l’E3. Analyse.

L4D2boycott

L4D 1er du nom s’est écoulé à plus de 2 millions d’exemplaires (ventes « boîtes », hors achat online sur Steam, plateforme de jeu et vente en ligne) depuis sa sortie en novembre 2008. Un succès donc. Le jeu est principalement multijoueurs, social et favorisant l’apparition de communautés sur Internet. Valve, son éditeur, est un habitué de ce type de jeux puisqu’il est déjà à l’origine des célèbres Counter Strike et Team Fortress 2.

Lors du lancement, Valve a annoncé que de nombreuses extensions téléchargeables seraient disponibles gratuitement pour le jeu et qu’ils comptaient ainsi constituer une grande communauté de joueurs avec ce type de services… et les joueurs les ont écouté. En six mois, les fans de la première heure n’ont pas eu grand chose à se mettre sous la dent en terme de contenus téléchargeables. Mais en plus, Valve annonce une « suite » (il n’y a pas d’histoire dans L4D) qui n’apporte pas de réelles nouveautés par rapport au premier épisode. En tous cas pas de nouveauté qui ne pourrait être a priori téléchargeable, même de façon payante. Cela aurait été moins « catastrophique » pour l’image de Valve que l’annonce d’un jeu complet au prix fort.

D’ailleurs, ce n’est pas tellement le prix qui fait grincer des dents la communauté, mais le sentiment d’avoir été flouée par un éditeur qu’elle admire et respecte depuis longtemps, tant pour la qualité de ses jeux que pour son écoute et sa valorisation de sa communauté. L’un des principaux reproche mis en avant par le groupe de boycott créé sur Steam est que le lancement de ce jeu divisera la communauté entre les utilisateurs du 1 et ceux du 2.

Le problème quand une marque déçoit ses fans, c’est que ceux-ci peuvent passer de l’amour à la haine très rapidement (un peu comme en amour quoi !) et se montrer particulièrement rancuniers à son égard, d’autant qu’ils n’ont pas oublié les promesses passées. La réaction ne se fait donc pas attendre et les vidéos fleurissent sur YouTube. Celle-ci a déjà près de 65 000 vues en 3 jours

Elle a même déjà droit à son remake : http://www.youtube.com/watch?v=pb0pF8d0Rxc

D’autres ont également de bons scores :

http://www.youtube.com/watch?v=koM4wyfCA_c

http://www.youtube.com/watch?v=SQWylFmqnwM

La preuve donc que quand une marque investit du temps et de l’argent à construire une communauté et lui promet services et écoute, mieux vaut aller jusqu’au bout de la démarche. En ce qui concerne Valve, tout n’est pas encore perdu : il leur suffirait d’annoncer que le contenu de L4D2 sera également disponible en téléchargement pour les utilisateurs du 1 pour que la communauté acclame de nouveau son éditeur fétiche. Attendons donc de voir si cette communauté aura ce poids ou si sa pétition se perdra dans les méandres du net.

Source : Kotaku

GTA IV lance sa campagne de street marketing

GTA IV est certainement le jeu le plus attendu de cette année sur les consoles ‘next-gen’. Alors que le jeu n’est pas prévu avant Avril, Rockstar vient de lancer une campagne de street marketing. Voila ce que l’on peut trouver coller sur les poteaux téléphoniques autour de Brooklyn :

gta_iv_wanted_poster.jpg

Le poster colle bien à l’ambiance du jeu et à l’esprit décalé de la série. Une adresse mail permet de contacter la police de Liberty City (ville imaginaire inspirée de New York qui sert de décor au jeu). Voici la réponse automatique hilarante renvoyée par le soit disant bureau de police 🙂 :

lcpd_response.jpg

Il est certain que cette opération enchantera les fans et attirera les curieux !

Marketing Awards 2007

Je me suis rendu compte aujourd’hui que deux marques m’avaient particulièrement marqué (c’est le cas de le dire) en 2007. Je tiens donc à leur rendre hommage sur ce blog pour l’excellence de leur stratégie marketing et de leur décerner mes premiers Marketing Awards 2007 !

Les deux vainqueurs ex-equo sont donc : Apple et Nintendo !

iphone.jpgApple tout d’abord pour la faculté qu’a eu la marque à promouvoir son iPhone à travers le buzz, ses clients fidèles, les early adopters etc… L’image de marque engendrée a été tellement forte que la marque a même pu imposer un nouveau business model aux opérateurs de téléphonie mobile voulant distribuer son téléphone. Le plus surprenant, c’est que si l’on supprime cet emballage marketing pour ne s’intéresser qu’à l’objet lui même, on constate que l’iPhone est un objet très sexy, mais à qui ils manquent des fonctionnalités que de nombreux concurrents intègrent déjà ! Le marketing d’Apple a donc fait très très fort sur ce coup là !

wii.jpgNintendo ensuite pour la capacité qu’a eu ce constructeur de console d’identifier de nouveaux besoins et d’élargir le marché des jeux vidéo au plus grand nombre. La Wii (et dans une moindre mesure la DS) ont été assez critiquées lors de leurs lancements par les joueurs, spécialistes et analystes du jeu vidéo… mais aujourd’hui, les chiffres de vente mettent tout le monde d’accord. Jamais lancements de consoles n’ont été aussi fulgurants. Le plus fort, c’est que ces deux consoles ont été immédiatement rentables alors que leurs concurrents (Sony et Microsoft) ont encore des trous plein les poches suite aux lancements de la PS3 et de la Xbox 360. Comme pour l’iPhone, la Wii est un produit techniquement moins puissant que les consoles concurrentes, mais le positionnement et la cible ont été plus pertinents et ont assuré le succès de la machine.

Nintendo est aussi de mon point de vue la société de jeux vidéo qui a la meilleure relation client : produits fiables, SAV performant, points de fidélité, site web entièrement refait à neuf et incitant les internautes à y repasser très régulièrement, etc…

Il est à noter qu’Apple et Nintendo ont tout deux publié des résultats records l’année dernière, tels qu’ils n’en avaient jamais connu… Il est certain que ces succès vont exciter les convoitises des concurrents et que nous devrions assister à de belles opérations en 2008.

En parlant de 2008, je suis également particulièrement curieux de voir la concrétisation du plan de relance de Carlos Ghosn pour Renault : ‘Renault Contrat 2009’. Ce plan comprend notamment le lancement de 26 nouveaux modèles (entammé en 2006) et le repositionnement de certaines gammes (Laguna et Velsatis). Tout cela devrait donner naissance à une communication et un marketing assez intéressants à suivre…

Et vous ? Quelles marques vous ont impressionné en 2007 ? Qu’attendez-vous de voir en 2008 ?

Le site promo d’Alone in the Dark

La série Alone in the Dark est à l’origine d’un des genres qui a permis au marché du jeu vidéo d’être ce qu’il est aujourd’hui en attirant les joueurs adultes : le survival horror. La sortie du 5ème opus développé par Eden Games et édité par Atari (deux entreprises lyonnaises) est forcèment précédée par la mise en ligne d’un site dédié. Ce site possède l’originalité de se focaliser plus sur le scénario et le background du jeu que sur le jeu lui-même.

CentralDark nous est présenté comme un site d’enquête sur les mystères entourant Central Park à New York, lieu principal de l’intrigue du jeu. Le site propose des liens vers d’autres sites officiels (New York Times, Wikipédia, etc…) qui permettent d’en savoir plus sur l’histoire du parc et des événements qui lui sont liés. Cette approche ancre le jeu dans une certaine réalité, ce qui est particulièrement intéressant pour un jeu de survival horror dont le but est de faire peur au joueur en faisant intervenir des éléments fantastiques dans un univers le plus réaliste possible.

centraldark.jpg

Ainsi, le site donne de la consistance au scénario et promet au joueur un scénario riche et travaillé. Sans en parler ni le montrer, il permet également au joueur de penser que le jeu sera particulièrement réaliste du point de vue de la réalisation et du gameplay, ce qui est apparemment confirmé par la dernière vidéo mise en ligne.

Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.

Il s’agit donc avant tout d’un site pour les fans, mettant en avant de nombreuses promesses sur des éléments que les marketeurs du jeu considèrent comme différentiateurs (interactions avec l’environnement, réalisme et multiplications des actions, gestion de l’inventaire, etc…). Ce sont d’ailleurs les points mis en avant dans la présentation du jeu dans la colonne de droite.

Personnelement, je trouve dommage que ce site n’ait pas plus assumé son caractère de site d’enquête. Il aurait du faire l’impasse sur le lien avec le jeu en se focalisant uniquement sur les mystères de Central Park. Cela aurait pu constituer un excellent buzz et aurait pu attirer de nombreuses personnes ferues d’enquête et de paranormal versle site et par extension vers le jeu. A la place, on n’aura finalement qu’un site (joli et original, certes) développant le scénario d’un jeu qui sortira quelques mois plus tard…

Les people ‘has been’ favorisent-ils le buzz ?

J’ai vu aujourd’hui les nouvelles pub pour World of Warcraft. Je ne joue pas à ce jeu et ce ne sont pas ces publicités qui vont m’y inciter. Par contre elles m’ont bien fait rire. Et en les cherchant sur Internet, j’ai pu constater qu’elles ont pas mal fait parler d’elles. Je me pose donc la question ‘les people has been favorisent-ils le buzz ?’ 🙂

Jean Claude Van Damme :

Mr. T :

Les acteurs Verne Troyer (le nain dans Austin Powers), William Shatner (Capitaine Kirk) et Guillermo Toledo (acteur espagnol) font également partie du casting. Et on ne peut pas dire que ce sont des acteurs particulièrement en vue…

Les advergames

La démocratisation du jeu vidéo (le casual gaming comme on dit dans le milieu) a conduit au développement d’un nouvel outil promotionnel : l’advergame. Le néologisme explique bien le principe : on va proposer une publicité au consommateur en le faisant participer à un jeu. Comment ça marche, qui peut le faire, est-ce efficace ? Nous allons voir cela ci-dessous…

Un advergame est habituellement un petit jeu en Flash faisant la promotion d’un produit ou d’une marque. Il y a 3 grands types d’advergames :
les jeux concours : plutôt que de proposer un simple questionnaire, le jeu concours peut être lié à un advergame où le gagnant sera celui qui a effectué le meilleur score / temps sur une période donnée. Ce sont des jeux souvent très simples et courts pour permettre au plus grand nombre de joueurs de s’y essayer.
les jeux publicitaires : ils mettent en scène la marque ou le produit dans un contexte de jeu. Ces jeux servent à véhiculer une image, un message publicitaire (affectif ?) dans lequel le joueur sera immergé et dans lequel il devra se sentir en affinité avec la marque. Ces jeux sont souvent plus développés et impliquant que les jeux concours.
les ‘vrais jeux’ à vocation publicitaire : ce sont de vrais jeux demandant beaucoup de développement et une implication forte de l’utilisateur puisque celui-ci doit souvent le télécharger avant d’y jouer : ils sont donc particulièrement bien ciblés. Mais ils reprennent le même principe que les jeux publicitaires : véhiculer une image / un message et créer l’affinité avec l’utilisateur.

Perfect Flight, jeu concours Axebusters, jeu publicitaire Fight for kisses, ‘vrai jeu’ publicitaire

Ces 3 types de jeux demandent donc une implication différente de la part de l’utilisateur, mais également de l’annonceur car les buts recherchés et les budgets alloués n’auront rien de commun entre le premier et le dernier cas par exemple.

Ce sont principalement les annonceurs BtoC qui utilisent ce support de communication et principalement pour promouvoir des biens de consommation : automobiles, produits cosmétiques, agro-alimentaires, technologiques, divertissement, etc. Ce sont généralement les jeux concours et jeux publicitaires qui sont utilisés par ces annonceurs.
On peut également en trouver en BtoB même si c’est plus rare. Je me souviens par exemple qu’Imaje (mon ancien employeur) avait développé un petit jeu où l’on baladait un bonhomme dans une usine et qui montrait ainsi l’ensemble des produits de la société. Ce jeu était proposé aux clients pour leur faire prendre conscience de l’étendue des produits et services d’Imaje.
Enfin, de nombreuses associations produisent des jeux ‘éducatifs’ pour promouvoir leur action. Ce sont souvent des jeux orientés ‘simulation’ et donc ils entrent plutôt dans la 3eme catégorie.

Food Force, jeu éducatif

L’advergame est un support de communication d’une efficacité redoutable (quand le jeu est bon et le message bien passé evidemment) ! En effet, le principe repose sur une implication forte de l’utilisateur : il est acteur du jeu, va faire de son mieux pour se dépasser, quitte à recommencer le jeu plusieurs fois. Le taux de mémorisation du message ou du produit est donc souvent excellent. Il le sera d’autant plus que les utilisateurs sont bien ciblés.

La diffusion de l’advergame se fait généralement par une campagne de marketing virale liée. Le but étant souvent de faire le meilleur score, le joueur peut envoyer le jeu à ses amis et comparer son score avec eux. L’annonceur peut ainsi développer sa base de données prospects avec des personnes ayant à priori une affinité pour sa marque / son produit.

Je pense que la meilleure preuve de l’efficacité de cet outil de communication est que l’advergame (version vrai jeu) est devenu le principal outil de propagande et de recrutement de l’armée américaine (et cela depuis plusieurs années) !

Maintenant, je pense que le futur de ce type de campagne passera par le téléchargement d’advergame (gratuits) sur téléphones mobiles. Sachant que ce support est particulièrement adapté à des jeux simples, courts, répétitifs (pour faire ‘rentrer’ le message !) Pour l’instant, seul le côté viral est encore mal exploité (il est plus difficile de comparer les scores ou impossible d’envoyer le jeu à un ami)… mais j’ai dit pour l’instant…

Pour en savoir plus :
Liens vers les exemples ci-dessus : The Perfect Flight, Axebusters, Fight for Kisses, Food Force
Plus d’exemples sur le blog Advergame
Un dossier sur le Journal du Net

Seam Carving – rsizr

Si comme moi vous aviez été très impressionné par la vidéo montrant les possibilités du programme de redimensionnement d’images intelligent Seam Carving, vous serez ravis d’apprendre que vous pouvez testé l’outil en ligne via une interface Flash : sur lel site rsizr (avec un joli logo 2.0 🙂 )

Sinon, je vous laisse découvrir la présentation du logiciel ci-dessous avant d’aller vous amuser avec vos images…

In rainbows ou un business model artistique fondé sur la relation client

Radiohead lance son nouvel album aujourd’hui. Intitulé ‘In rainbows’, il n’est pour l’instant que téléchargeable sur Internet, sur un site dédié. Cette démarche est déjà originale pour un groupe de cette notoriété, mais Radiohead va encore plus loin en laissant les Internautes décidé du prix de l’album.

in-rainbows.jpg« Joli coup marketing » peut on lire un peu partout sur le net. Cette démarche assure en effet un gros buzz, mais le dispositif marketing va plus loin que ça :

– pour télécharger l’album, les internautes doivent laisser leurs coordonnées. Ils entrent donc dans la base de données des ‘fans’ de Radiohead et pourront être sollicités ultérieurement pour des produits dérivés ou des concerts (principales sources de revenu pour des groupes de ce type). Faire découvrir son travail et le partager avec le plus grand nombre gratuitement est d’ailleurs un très bon dispositif de recrutement.

– un double album collector (le 1er CD inclus les chansons en téléchargement et le 2eme CD rassemblera des pistes inédites) vendu au prix fort (40£). Un pur produit pour fans qui sortira dans un mois. L’édition collector est en pré-résérvation sur le site. Cela veut dire que le groupe pourra aussi anticiper la production de l’album en calculant les coûts au plus juste : très important pour un album auto-produit.

Enfin, cette initiative de Radiohead consacre le nouveau business model artistique. Si de nombreux artistes (musicaux ou autres) donnent de la visibilité à leur travail sur Internet (ex: Arctic Monkeys ou Frantico en BD), ils rejoignent souvent le système classique éditeur / circuit de distribution dès qu’ils sont un peu connus. L’initiative de Radiohead est un gros coup en pleine poitrine des maisons de disques et des réseaux de distribution :

– Ils reviennent aux bases du système d’échange de l’art. Un peu comme les artistes qui jouent dans la rue (je ne parle pas du métro 🙂 )ou lors de festivals indé et qui y vont surtout pour partager ce qu’ils font. Souvent les spectacteurs peuvent les rétribuer comme ils le veulent. Car même si l’album sera surement majoritairement téléchargé à 1 penny, d’autres seront prêts à donner 10£ à leur groupe préféré. D’autres enfin apprécieront la démarche et paieront le prix qu’ils estiment juste pour un album en ligne (comparé au prix des albums CD).

– Ils montrent de la considération pour leur base de fan en s’adressant directement à eux.

– Ils vont éviter que leur album soit totalement dévalorisé 6 mois après sa sortie, passant de 17€ à 6,99€…

– Ils vont éviter que leur album soit massivement piraté

Bref… Radiohead confirme que les artistes peuvent se passer des maisons de disques et des réseaux de distribution grâce à Internet et à des campagnes de promotion bien menées auprès des communautés de fans. Ils ont quitté leur maison de disque après ‘Hail to the thief’ car ils ont jugé qu’elle était devenue un intermédiaire inutile. Nous pourrons juger d’ici quelques mois si ils ont fait le bon choix, mais j’ai confiance en cette démarche et je leur suis reconnaissant de vouloir faire bouger les choses.

Un autre article intéressant sur le sujet (en anglais) ici

Encore une pub qui surfe sur la mode rugby…

Mais celle-ci à le mérite d’être drôle 🙂

Comme à son habitude, Ubisoft édite une nouvelle vidéo virale mettant en scène un sujet d’actualité détourné par les lapins crétins pour faire patienter les fan jusqu’à Noël.

Super Paper Mario… n’a de super que le nom !

Grand fan des Mario-RPG et plus particulièrement de Paper Mario sur GameCube, je me suis rué sur le nouvel épisode Wii qui avait l’air très prometteur…

Et bien au final j’ai été très déçu… On ne retrouve pas la magie et l’humour des autres Mario-RPG (Partners in Time DS est à ce niveau une référence). Le passage de la 2D à la 3D est une super idée, mais mal adaptée car la maniabilité en souffre beaucoup. Les combats ont perdu le côté tactique des RPG et non pas non plus le punch des jeux de plateforme. La durée de vie du jeu est faible malgrès le fait que les game designer aient cherché à la rallonger en nous faisant passer plusieurs fois au même endroit… Les personnages ont perdu leur look ‘papier’ et ont à la place… ben euh… un non-look… Ils ne ressemblent vraiment à rien avec leurs têtes carrées, que ce soient les pixels (vos partenaires) ou les ennemis. On ne comprend pas ce Mario vient faire au milieu de ces personnage carrés. Le monde perd en cohérence… Bref je suis très déçu…

Voilà c’était mon coup de gueule ! Je vais plutot faire le 1er sur Console Virtuelle…